Blanquette de volaille : plus légère, souvent réalisée avec du poulet ou de la dinde.
Blanquette de poisson : une adaptation moderne avec du cabillaud ou du saumon.
Version régionale : certaines régions ajoutent du vin blanc sec dans le bouillon, d’autres remplacent la crème par du lait.
Astuces de chef pour sublimer la blanquette
Ne jamais brunir la viande pour conserver sa blancheur caractéristique.
Ajouter un peu de muscade râpée dans la sauce pour relever le goût.
Servir dans une cocotte en fonte pour garder la chaleur et l’authenticité.
Préparer la veille : la blanquette est encore meilleure réchauffée le lendemain.
Valeurs nutritionnelles (par portion moyenne)
Calories : environ 450 kcal
Protéines : 35 g
Lipides : 25 g
Glucides : 20 g
Accord mets-vins
Pour accompagner une blanquette de veau à l’ancienne, rien de tel qu’un vin blanc sec et aromatique : un Bourgogne Chardonnay, un Chablis ou encore un Vouvray. Si vous préférez le rouge, optez pour un vin léger et fruité comme un Beaujolais.
Pourquoi la blanquette reste un plat intemporel ?
Parce qu’elle incarne à la fois la tradition, la convivialité et le réconfort. Elle raconte une histoire : celle des repas de famille, des recettes notées dans des carnets usés, des dimanches passés à table à partager bien plus qu’un simple repas.
Conclusion
La blanquette de veau à l’ancienne, mijotée aux légumes et sauce onctueuse, est bien plus qu’une recette. C’est un héritage, une madeleine de Proust culinaire qui continue de séduire toutes les générations. Avec ses saveurs délicates, sa sauce généreuse et sa cuisson lente, elle mérite largement sa place parmi les grands classiques de la cuisine française.